Pendant ces deux années, j'avais beaucoup appris sur la lingerie grâce aux étalages des magasins. Avant que je tombe sur le magasin, il n'y avait que des culottes, des soutiens-gorge, des bas et des collants. Mais l'éducation des étalages m'avait pensé à des merveilles telles que les shorts pour garçons, les effrontés, les bikinis, les slips, les jarretières, les hiphuggets, les tongs, les cordes en V, les pompes, la couverture complète, la demi-tasse, les bretelles, le dos nageur. Fermeture frontale... vous voyez l'idée. Mes coups d'œil furtifs dans cette fenêtre avaient guidé mes achats du Grand Universel et m'avaient montré ce qu'il fallait acheter.
Puis vint ce jour de juin où une nouvelle exposition m'arrêta brutalement. Le magasin avait deux fenêtres de chaque côté de la porte mais c'était la fenêtre de droite qui m'avait fait m'arrêter. Il y avait un étalage de bas et de culottes, mais c'est la pièce maîtresse qui a attiré mon attention. Sur un mannequin était une vision en noir. Je n'avais jamais possédé de corset, mais j'avais souvent rêvé un jour de faire une exploration dans le domaine. Mais je n'ai jamais eu, et maintenant je regardais, eh bien, je dis une vision en noir. Un corset en dentelle tellement girly et délicat. Il était sous câblé et rembourré mais juste assez décolleté pour faire allusion aux délices qu'il pouvait contenir et non pour crier "clochard". Il y avait des bretelles et des culottes assorties. Le corset avait l'air si délicat, si doux et en dentelle que je me tenais là, le regardant, rêvassant et avec une semi-érection. Puis la réalité est arrivée, je suis devenu rouge, j'ai réalisé que je m'étais arrêté pour regarder et j'ai rapidement marché. Mais toute cette journée et cette nuit-là, tout ce que je pouvais faire était de m'imaginer dans cette merveille de lingerie. Le reste de la semaine, j'avais ralenti ma marche devant le magasin pour pouvoir voir la vision, et chaque jour mon désir d'avoir ce merveilleux objet de lingerie grandissait.
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